
Le ministre de l’Intérieur a rencontré les dirigeants des centrales syndicales les plus représentatives pour la reprise du dialogue social et l’examen de nombreuses questions concernant en premier la classe ouvrière et le dossier des enseignants stagiaires.
En effet, en vue d’apaiser la tension sociale particulièrement après les manifestations organisées à travers les quatre coins du pays par les enseignants stagiaires et durement réprimées pour réclamer l'annulation de deux décrets du ministère de l’Education nationale portant sur la séparation entre la formation et le recrutement, le ministre de l’Intérieur Mohamed Hassad et Charki Draiss, ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur ont eu une rencontre avec Abdelhamid Fatihi, secrétaire général de la Fédération démocratique du travail ainsi qu’avec Abdelaziz Ioui et Abdessadek Saaidi, membres respectifs du Conseil central de la FDT.
A l’issue de cette rencontre, les deux parties ont convenu de la nécessité de reprendre un dialogue social sérieux et responsable et de se pencher, au plus vite, sur l’examen des grands dossiers notamment celui de la réforme de la retraite. De même que la délégation fédérale a saisi cette occasion pour évoquer le dossier des enseignants stagiaires afin de parvenir, en commun accord , à une issue à même de préserver la dignité de ces derniers.
Il y a lieu de rappeler que le Conseil national de la FDT qui s’est réuni en session extraordinaire le 9 janvier avait décidé d’organiser une grève nationale dans la Fonction publique, les collectivités locales et les entreprises publiques le 11 février 2016, tout en laissant aux fédérations locales le soin d’adopter toutes les formes de protestation (sit-in, marches…) qu’elles vont organiser ce jour-là, selon un communiqué de presse de cette centrale syndicale.
Cette décision intervient quelques jours après l’adoption par le Conseil de gouvernement de plusieurs projets de loi relatifs à la réforme des régimes de retraite sans concertation avec les centrales syndicales au sujet de cette réforme.
La FDT avait qualifié la démarche du gouvernement d’«unilatérale» et d’«irresponsable» et compte donc lancer une pétition dans la Fonction publique contre le projet gouvernemental de réforme.
Par ailleurs, la FDT avait dénoncé l’intervention musclée des forces de l’ordre contre les professeurs stagiaires dans plusieurs villes du Royaume. Dans ce sens, elle a décidé d’adresser des lettres de protestation au chef du gouvernement ainsi qu’aux ministres de la Justice et de l’Intérieur.
En effet, en vue d’apaiser la tension sociale particulièrement après les manifestations organisées à travers les quatre coins du pays par les enseignants stagiaires et durement réprimées pour réclamer l'annulation de deux décrets du ministère de l’Education nationale portant sur la séparation entre la formation et le recrutement, le ministre de l’Intérieur Mohamed Hassad et Charki Draiss, ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur ont eu une rencontre avec Abdelhamid Fatihi, secrétaire général de la Fédération démocratique du travail ainsi qu’avec Abdelaziz Ioui et Abdessadek Saaidi, membres respectifs du Conseil central de la FDT.
A l’issue de cette rencontre, les deux parties ont convenu de la nécessité de reprendre un dialogue social sérieux et responsable et de se pencher, au plus vite, sur l’examen des grands dossiers notamment celui de la réforme de la retraite. De même que la délégation fédérale a saisi cette occasion pour évoquer le dossier des enseignants stagiaires afin de parvenir, en commun accord , à une issue à même de préserver la dignité de ces derniers.
Il y a lieu de rappeler que le Conseil national de la FDT qui s’est réuni en session extraordinaire le 9 janvier avait décidé d’organiser une grève nationale dans la Fonction publique, les collectivités locales et les entreprises publiques le 11 février 2016, tout en laissant aux fédérations locales le soin d’adopter toutes les formes de protestation (sit-in, marches…) qu’elles vont organiser ce jour-là, selon un communiqué de presse de cette centrale syndicale.
Cette décision intervient quelques jours après l’adoption par le Conseil de gouvernement de plusieurs projets de loi relatifs à la réforme des régimes de retraite sans concertation avec les centrales syndicales au sujet de cette réforme.
La FDT avait qualifié la démarche du gouvernement d’«unilatérale» et d’«irresponsable» et compte donc lancer une pétition dans la Fonction publique contre le projet gouvernemental de réforme.
Par ailleurs, la FDT avait dénoncé l’intervention musclée des forces de l’ordre contre les professeurs stagiaires dans plusieurs villes du Royaume. Dans ce sens, elle a décidé d’adresser des lettres de protestation au chef du gouvernement ainsi qu’aux ministres de la Justice et de l’Intérieur.